Les accents, dites aussi « les signes auxiliaires », nous permet de bien lire et comprendre les phrases d’un texte. Ils peuvent être utilisés pour différencier quelques homonymes (les mots qui ont la même prononciation mais un sens différent).
On distingue 3 sortes d’accents :
On met un accent aigu sur « e » :
Devant une syllabe sonore. Exemple : espérer, compléter, vérifier…
Un mot qui commence par cette voyelle. Exemple : école, échantillon, éclairage…
Soit la dernière lettre d’un mot {y compris les mots en féminin (ée) et en pluriel (és)}. Exemple : beauté, volonté, abonnée, clés…
On met un accent grave sur « e » :
Devant une syllabe muette. Exemple : père, mère, frère, barème…
[Ça, la, a, ou] sans accent grave, ne signifient pas la même chose que [çà, là, à, où].
On met un accent circonflexe sur les voyelles : e, a, i, o, u.
Il indique une voyelle longue et il remplace une lettre disparue. Exemple : fête/feste, hôpital/hospital, fenêtre/fenestre…
« e » devant un « x » ne prend jamais un accent.
« e » qui précède une consonne double ne prend jamais accent.