Publié le 04/05/2018 | 18:39
AP : Quelle lecture faites-vous de l’évolution du métier d’assistanat sur le marché marocain ?
KAH : L’assistante de direction a beaucoup évolué en comparaison avec son statut « d’employée de bureau », de « dactylographe » ou encore de « secrétaire », les nouvelles technologies l’ont libérée des tâches encombrantes.
Elle est devenue conseillère coordinatrice, médiateur au sein de son service.
AP : Dans quelle mesure l’estime de soi permet-elle aux assistantes de direction de gagner en performance professionnelle ?
KAH : L’estime de soi permet à l’assistante de direction de gagner en performance professionnelle, car aujourd’hui elle n’est plus cette employée effacée, tout au contraire elle trouve sa place dans l’organisation et la gestion administrative de l’entreprise qui lui accorde ainsi un statut la valorisant, faisant d’elle un acteur actif participant à la performance et à la productivité de l’entreprise.
AP : Quelles sont les contraintes du métier ?
KAH : Les contraintes du métier résident spécialement dans le fait que l’assistante doit être constamment à jour des connaissances et des nouvelles technologies, et doit constamment être à jour en formation, d’où une grande disponibilité, qui parfois risque d’être source de stress.
